Plus connu comme plasticien pour ses dessous d’affiches lacérées, François Dufrêne fut aussi, dans les années 50, le fondateur de l’ultralettrisme, soit une forme de “lettrisme sonore” qui explore les possibilités vocales (cris, bruits de gorge et de langue, phonèmes, etc.) dans le but de générer une poésie sonore purement phonétique et spontanée qui deviendra ensuite le terrain d’exploration des Bernard Heidsieck, Henri Chopin et consorts. Köchel que j’aime est une œuvre qui date de 1969.
Titre : Köchel que j’aime
Auteur : François Dufrêne
Date : 1969
Durée : 9′36″
En écoute sur UbuWeb
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